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Après un hiver sans fortes gelées nos pensées sont dévastées à l'arrivée de plus de douceur. L'épidémie se developpe à une vitesse ahurissante sautant de jardinière en jardinière pourtant distantes de vingt centimètres. Nous cherchons la cause et renonçons à les remplacer.Nous voyons de minuscules pucerons.

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pensée attaquée